Projet social communautaire

Un projet social sur le territoire ? Et oui !

En proposant des modes de garde et des logiques d’animation dans les domaines de la petite enfance, de l’enfance, de la jeunesse, de l’animation familles et de la ludothèque, Couesnon Marches de Bretagne s’est dotée de services à la population développés et reconnus. Des démarches de participation sont déjà à l’œuvre envers les habitants ou valorisent des initiatives bénévoles.

La plupart de ces services intégreront au printemps 2021 deux équipements structurants en cours de construction : le Pôle social et solidaire (PSS) à Val Couesnon (Antrain) et l’Espace social et culturel commun (ESCC) à Maen Roch (Saint-Brice-en-Coglès). Ces lieux viendront conforter la structuration des politiques sociales et éducatives sur le territoire.

Ces politiques sont désormais assemblées et coordonnées par un projet de centre social.

Les centres sociaux sont des lieux d’écoute, d’information et de projets collectifs. Ces « maisons des habitants », portées par et pour eux, entendent permettre l’épanouissement de chacun et favoriser l’expression citoyenne. Ainsi, les valeurs fondatrices des centres sociaux reposent sur les principes de respect de la dignité humaine, de solidarité entre les habitants et de démocratie.

Les missions générales d’un centre social reposent sur l’idée d’un lieu de proximité à vocation globale, familiale et intergénérationnelle. Il s’agit aussi un lieu d’animation sociale qui permet aux habitants de réaliser leurs projets. Enfin, le centre social est un des lieux d’exercice de la citoyenneté. La Fédération nationale des centres sociaux propose un schéma graphique qui s’appuie sur la métaphore des trois maisons interagissant entre elles.

L’espace des services et des activités répond à l’intérêt particulier : activités de développement personnel ou socioculturel régulières, permanences sociales, informations, accompagnement scolaire… Dans ce cadre, la communauté de communes devra se montrer attentive à la compatibilité entre le service ou l’activité et les besoins.

L’espace des projets génère des dynamiques à partir d’intérêts collectifs : camps et/ou foyers organisés par les jeunes, actions culturelles, groupes parents, sorties familiales, montages d’associations, événementiels… Il s’agira pour Couesnon Marches de Bretagne de déceler et d’aider à exprimer les questions partagées qui pourraient être à l’origine de démarches collectives.

L’espace de la citoyenneté travaille sur des questions d’intérêt général : comité d’animation, conseil d’administration du centre social, création d’un journal ou de débats, soutien à l’initiative d’autres habitants… La communauté de communes sera un partenaire de choix afin d’écouter les réalités sociales et de relayer les initiatives de proximité.

Les questionnement soulevés aux prémices du projet ont été répertoriés et synthétisés sous forme d’enjeux :

  • Quelles seront les modalités de gouvernance, avec les habitants?
  • Comment la démarche de centre social viendra-t-elle irriguer l’ensemble des communes du territoire?
  • Quels seront les services à la population qui seront intégrés à la dynamique de projet?
  • Comment la participation des habitants sera prise en compte et jusqu’à quels niveaux?

La Caisse d’allocations familiales (CAF) d’Ille-et-Vilaine a validé fin 2019 le projet de centre social de Couesnon Marches de Bretagne et délivré un agrément. Ce sésame décisif a offert le cadre règlementaire, administratif et financier indispensable à la bonne conduite d’un projet qui engage désormais élus et agents communautaires, mais également des partenaires comme la CAF, la MSA ou encore le conseil départemental d’Ille-et-Vilaine.

Le diagnostic préalable a été mené par l’équipe d’agents et de professionnels rattachés au centre social sur la période allant de mars à juin 2019. Professionnels de l’animation sociale, habitants intéressés, élus, agents, acteurs sociaux, scolaires, sportifs, culturels, éducatifs, groupes de parents impliqués… 402 personnes au total ont été interrogées.

Six axes de travail se sont dégagées de cette phase.

Participation et gouvernance au centre social

Objectifs  :

  • Encadrer la participation des habitants, en y allouant des moyens, notamment humains
  • Pérenniser et calibrer les fonctionnements déjà existants
  • Mettre en place des organisations d’accueil et d’animations attractives pour les habitants
  • Adapter les organisations à la configuration du territoire, en répondant aux problématiques de mobilité, ou en allant vers les populations
  • Appréhender les questions de participation des habitants via un réseau d’acteurs du territoire, à coordonner

Conclusions :

  1. Des comités d’usagers / habitants seront mis en place par équipement ou sur des sujets spécifiques : comité de jeunes, groupe sur les questions de parentalité, commission évènementiel… Ces groupes et espaces de concertation / participation seront structurés en s’appuyant sur le rayonnement des actions des services, en fonction des projets et des opportunités qui caractériseront le périmètre d’activités du centre social.
  2. Le développement de la participation des habitants sera facilité par la qualité des temps d’accueil proposés et par des postures professionnelles adaptées de la part de l’équipe du centre social. La configuration et l’esthétique des locaux dédiés aux actions du centre social joueront un rôle prépondérant.
  3. Les habitants seront sollicités et associés aux actions. Les modalités d’accompagnement et les curseurs d’intervention de l’équipe du centre social seront ainsi fixés à partir des besoins exprimés de la population, avec une recherche dans l’équilibre du positionnement des habitants acteurs et des techniciens.
  4. Dès que possible, il conviendra de valoriser et d’accompagner la mise en place et la création d’initiatives venant des habitants : des logiques d’ateliers socioculturels, d’échanges de savoirs, de coopération sont ici ciblés. En outre, les habitants pourront être associés à l’aménagement, la décoration, voire l’organisation des équipements et des lieux d’accueil.
  5. L’idée d’un budget participatif alloué aux initiatives des habitants et encadré par l’équipe du centre social, aura aussi tout son sens. Ce budget participatif serait à déterminer dans ses traductions, avec par exemple des fonds prévus pour de l’évènementiel, des supports ou des projets liés à la communication, ou encore des actions spécifiques autour de la parentalité. Le centre social Chorus (Val d’Anast) a mis en place cet outil depuis quelques années. Celui-ci porte ses fruits, à la fois pour le développement de la participation, et à la fois pour une contribution directe à l’animation de la vie sociale locale.

L’accueil et l’orientation des usagers

Objectifs  :

  • Orienter les habitants au plus juste en prenant en considération leurs attentes ou l’expression de leurs besoins
  • Être en capacité d’informer et de mettre en relation les habitants avec les acteurs sociaux et éducatifs du territoire
  • Structurer les espaces dédiés à l’accueil des habitants en développant un esprit de partage et de convivialité
  • Participer à l’animation des espaces de vie sociale du territoire au sein des équipements structurants et en allant à la rencontre des habitants
  • Développer des modes de communication adaptés et attractifs, qui permettent la participation et l’implication des habitants dans la vie sociale locale

Conclusions :

  1. Au-delà de la réflexion sur la fonction accueil, un travail de fond est à mener sur l’appellation des structures dédiées au projet de centre social. Il convient en effet d’éviter de stigmatiser les publics ou de freiner leur venue en maintenant des connotations négatives. Un appel à projet autour du nom peut être organisé. Les habitants qui y participeraient pourraient ainsi s’approprier la démarche.
  2. Les espaces d’accueil doivent être organisés de façon à ce que l’habitant / usager se sente écouté et valorisé. Adieu l’espace d’attente, bonjour l’espace détente ! Les lieux prévus doivent être pensés pour dégager une impression de chaleur. Les aménagements faciliteront les échanges, les temps d’animation et de découverte.
  3. Les équipes du centre social, dans le cadre de la mission d’accueil – partagée par tous, mettront un accent particulier sur leurs postures professionnelles : empathie, prise de recul, ouverture, écoute, sourire…
  4. Les savoir-être et savoir-faire des usagers seront valorisés par l’accueil : orientation, animation spontanée, amorce de projet…
  5. La communication en équipe sera accentuée entre les services à partir des situations ou demandes d’habitants, de façon à avoir une lecture commune des enjeux identifiés. Des formations communes ou de temps d’échanges de pratiques entre acteurs du centre social seront les bienvenus.
  6. L’accueil ne déroge pas à cette règle : il est plus aisé de gérer des situations délicates à plusieurs que seul. Afin de lutter contre un hypothétique isolement des chargés d’accueil, le projet fera la part belle à leur intégration à des projets ou des temps d’animation avec les acteurs du centre social.
  7. Les équipements estampillés centre social doivent être facilement identifiés de la population : la signalétique au sein des communes d’implantation doit être facilement perceptible. Il en va de même pour les services ou acteurs présents à l’intérieur des structures.
  8. Les espaces d’accueil seront considérés comme des lieux d’animation de la vie sociale à part entière. Ils peuvent faire l’objet de mise en place d’expositions, d’animations, d’évènements qui favorisent le développement du lien social ou qui valorisent les compétences de la population. Ces espaces peuvent faire l’objet d’actions type « café détente » ou « café citoyen » animées par les équipes du centre social.

Jeunesse

Objectifs  :

  • La jeunesse n’ayant pas de « frontières » (scolarisation, loisirs), participer au portage d’une politique globale jeunesse à l’échelle du pays de Fougères
  • Associer les jeunes en créant des espaces de concertation et de codécision dans les instances qui œuvrent pour l’évolution des politiques les concernant
  • Au-delà de l’animation de loisirs et de l’accompagnement de projets, appréhender les questions d’insertion sociale et professionnelle, d’accès à l’information, de prévention des conduites à risques, de mise en place de projets valorisant l’engagement et la participation des jeunes à la vie du territoire

Conclusions :

  1. L’animation « hors les murs » (animation en itinérance) sera développée en guise de réponse aux problématiques de mobilité auxquelles sont confrontés certains jeunes. Ce type d’animation favorisera le recueil des paroles et des envies des jeunes.
  2. Les questions de jeunesse sont au croisement de nombreuses actions, portées par de nombreux acteurs sociaux, éducatifs, culturels, scolaires… L’animation d’un réseau d’acteurs de la jeunesse, sorte d’instance de veille et de valorisation des partenariats potentiels, est escomptée.
  3. Les organisations pédagogiques des ALSH jeunesse sont aujourd’hui très bien adaptées aux attentes des préadolescents. Des actions innovantes sont à imaginer pour les 15 ans et plus : actions en autonomie, évènementiels, animations informelles, accompagnement d’initiatives spécifiques… Dans le même ordre d’idée, un travail de passerelles pédagogiques est à imaginer avec les ALSH enfance du territoire, gérés en régies ou en délégation de service public.
  4. Dans la lignée de la dynamique enclenchée en 2019 avec la création d’un poste d’animateur permanent fléché sur Ados Explorers, la mise à disposition de moyens humains, financiers, et matériels, devra être confirmée pour développer un projet politique ambitieux.
  5. Il semble important de poursuivre et de consolider les interventions des animateurs au sein des équipements scolaires : temps méridiens, permanences, accompagnement éducatif. Cela vient confirmer le principe d’ouverture sur le territoire des collèges, et permet aux animateurs de rencontrer plus de jeunes et de communiquer sur les possibles du service jeunesse.
  6. La participation des jeunes à l’animation de la vie sociale locale sera un axe fort du projet de centre social, au même titre que d’autres tranches d’âge ; pour autant, il y a ici un enjeu éducatif fort à activer les leviers de la participation des jeunes. D’inspiration « conseils de jeunes », des comités consultatifs ou groupes actions / projets peuvent être créés.
  7. Si le Point Information Jeunesse (PIJ) est réactivé, il semble porteur que celui-ci soit entre autres caractérisé par la mise en place d’un système de bourse à projets jeunes.
  8. La question de l’autonomie n’est pas laissée de côté : des actions allant dans ce sens sont espérées, il est proposé la création ou la gestion par les jeunes d’un lieu type « bar associatif » qu’ils puissent s’approprier pour développer leurs propres projets.

Mobilité et itinérance

Objectifs  :

  • Adapter le périmètre d’action du centre social aux projets qu’il porte et qui le caractérisent
  • À l’aune de la mise en place des Maisons France Services (voir la page dédiée sur le site du gouvernement), engager une réflexion sur le fait d’allouer des ressources humaines et matérielles pour aller à la rencontre des habitants
  • Innover en maintenant les actions des services communautaires au sein des équipements qui leur sont dédiés et en organisant des accueils ou des animations sur chaque commune du territoire
  • Imaginer une politique de transports pour la population
  • Voisiner : accompagner des logiques d’entraide et de solidarité entre les habitants en formant des collectifs mouvant entre lieux de vie sociale

Conclusions :

  1. La collectivité travaille depuis des années sur des logiques d’itinérance, en proposant un maillage d’actions réparties sur le territoire. Il convient de s’inspirer de ces expériences.
  2. Un système de « navettes » peut se développer dans le cadre d’animations au sein des équipements structurants estampillés centre social.
  3. En parallèle, des organisations de transport peuvent être imaginées via la mise en place de réseaux bénévoles, ou de voisins.
  4. La collectivité, dans le cadre du Plan de mobilité simplifié (PMS), mettra en place une plateforme permettant de répondre aux besoins de transports des habitants qui l’exprimeraient.
  5. Les possibilités offertes aux habitants feront l’objet d’une communication ciblée et adaptée.
  6. L’animation numérique sera développée, tout en favorisant l’accès aux droits, ce dans une société où la numérisation des démarches est généralisée.
  7. Un système de ramassage pour les jeunes qui désirent se rendre à l’accueil jeunesse Cogl’Ados pourrait être questionné.
  8. Des logiques de covoiturage peuvent être accompagnées. L’idée d’un réseau « Pouce ! » a ainsi été exprimée dans le cadre des groupe de travail.
  9. Afin de dynamiser la vie des communes, et de favoriser le lien entre les habitants, les projets festifs ou évènementiels ont été vus comme des leviers forts. Pourquoi ne pas mettre en place des animations itinérantes, notamment pendant la période estivale?

Accès aux droits et usages du numérique

Objectifs  :

  • Dans le cadre du développement d’une politique numérique, associer des savoir et savoir-faire sous forme de moyens humains, organisationnels et partenariaux afin d’accompagner les publics fragiles et isolés
  • Encourager la création d’activités autour du numérique, dans des logiques d’échanges entre les habitants et d’animation des territoires communaux.
  • Coordonner à l’échelle du territoire les différentes actions qui relèvent du numérique, de façon à ce que les besoins soient pris en compte, les périmètres d’intervention des acteurs dissociés et la complémentarité assurée

Conclusions :

  1. Une liste des différents lieux de connexion wi-fi gratuits sera cartographiée et de communiquée auprès des habitants.
  2. Des actions de vulgarisation autour du numérique seront initiées dans le cadre d’ateliers, de participations directes d’habitants bénévoles voire actions intergénérationnelles.
  3. Les zones dites « blanches » feront l’objet d’une bonne couverture numérique dans des délais raisonnables.
  4. Les collèges du territoire seront au cœur de partenariats afin de permettre l’accès aux salles et au matériel informatique
  5. La collectivité va déployer un projet de Maisons France Services. Un des axes d’intervention de ces nouveaux services sera estampillé animation, via le projet de numéribus par exemple.
  6. Les espaces d’accueil du centre social seront dotés d’un parc informatique en accès pour la population. Des temps d’initiation seront organisés par des agents en charge du numérique et/ou des habitants volontaires. Ces initiatives peuvent également être valorisées au sein des médiathèques, aujourd’hui concernées par ces demandes d’habitants et ces usages.

Publics fragiles, seniors, intergénération

Objectifs  :

  • Communiquer de façon adaptée et ciblée pour sensibiliser les habitants sur les possibilités offertes par le centre social
  • Délocaliser des actions du service jeunesse au plus près des lieux de vie des jeunes évoluant dans des schémas d’invisibilité (précarité sociale et/ou culturelle). Renforcer les partenariats au sein d’un réseau d’acteurs de la jeunesse : scolaires, insertion, emploi
  • Développer l’interconnaissance au sein de la communauté éducative pour capter ces publics
  • Accompagner les habitants pour développer des logiques de voisinage, briser des barrières ou représentations, valoriser les compétences et les individualités et renforcer l’accès aux droits

Conclusions :

  1. Les services du centre social se montreront à l’écoute des attentes et des besoins de la population.
  2. Les habitants se verront proposer des temps ou des activités à dimension éducative et festive. Ces animations participent de leur ouverture et les valorisent dans un collectif. C’est ici l’idée du projet dans auquel les habitants peuvent adhérer ou dans lequel ils peuvent s’inscrire qui est posée comme un outil pour retrouver / trouver de la confiance en soi.
  3. Dans le cadre d’un centre social qui prend la forme d’une interface multipartenariale, l’animation et la coordination du réseau d’acteurs sociaux et socioculturels seront primordiales. En outre, il sera nécessaire d’identifier des personnes ressources, donc de faire réseau avec des acteurs comme les chargés d’accueil des mairies du territoire qui apparaissent comme des relais naturels en ce sens. Un groupe de travail sur le sujet sera proposé, regroupant le réseau d’acteurs concerné et pouvant exercer une fonction de veille sur cet enjeu.
  4. Les publics en fragilité (ou invisibles), vivent souvent des problématiques de mobilité. Le fait de développer des facilités dans ce sens, par les logiques de voisinage ou par la mise en place de systèmes de transports adaptés sera recherché. Dans ce cadre, il est proposé d’aller vers les habitants, ou de les amener à. De façon croisée et transversale, la mise en place d’un numéribus serait une des réponses à apporter à la population, tant concernant l’accès aux droits qu’à leur participation à des moments collectifs et conviviaux.
  5. Des animations conviviales mettront à l’honneur le développement des échanges ou la valorisation des savoir-faire.

La Caisse d’allocations familiales (CAF) d’Ille-et-Vilaine est un organisme de droit privé à compétence départementale chargé de verser aux particuliers des prestations financières à caractère familial ou social dans des conditions déterminées par la loi. La CAF accorde également des prestations dites extralégales dans le cadre de sa politique d’action sociale pour inciter et accompagner les acteurs locaux, – principalement les collectivités locales et les associations – à développer des services adaptés aux besoins des familles : crèches, accueils de loisirs, actions de soutien à la parentalité, animation de la vie sociale…
Plus d’informations sur le site internet de la CAF d’Ille-et-Vilaine.

La Mutualité sociale agricole (MSA) assure la couverture sociale de l’ensemble de la population agricole et des ayants droit : exploitants, salariés (d’exploitations, d’entreprises, de coopératives et d’organismes professionnels agricoles), employeurs de main-d’œuvre. Avec 26,8 milliards de prestations versées à 5,6 millions de bénéficiaires, c’est le deuxième régime de protection sociale en France.
Plus d’informations sur le site internet de la MSA.

Le département d’Ille-et-Vilaine agit au quotidien pour sa population aux travers de ses compétences en action sociale, éducation, collège, habitat, développement des territoires, innovation, agriculture, culture, sport, service départemental d’intervention et de secours (SDIS) et même relations internationales.
Plus d’informations sur le site internet du Département.

La Fédération des centres sociaux et socioculturels de Bretagne (FCSB), membre de la Fédération nationale, anime et accompagne un réseau de 63 structures adhérentes dont le centre social de Couesnon Marches de Bretagne. Elle développe des chantiers, des ressources, prône le travail associé entre bénévoles et salariés, la convivialité dans les actions, la reconnaissance de l’expertise du citoyen sur son territoire, la co-construction avec tous les acteurs et partenaires locaux.
Plus d’informations sur le site internet de la FCSB.

 

 

Newsletter

Réseaux sociaux

Votre navigateur est dépassé !

Mettez à jour votre navigateur pour voir ce site internet correctement. Mettre à jour mon navigateur

×